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Soutenir les familles népalaises pendant le Nouvel An népalais
Chaque printemps, le Népal célèbre un nouveau départ : le Nouvel An népalais, qui tombe cette année le 14 avril. Ce renouveau est profondément enraciné dans la culture et les traditions du pays. Le Népal suit le calendrier Bikram Sambat, qui place généralement le Nouvel An à la mi-avril. En plus de la célébration nationale connue sous le nom de Nava Barsha, le Népal observe également le Nepal Sambat, un Nouvel An basé sur le calendrier lunaire, principalement célébré par la communauté Newar plus tard dans l’année. Chaque fête reflète la richesse du patrimoine culturel du Népal et son esprit de renouveau.
Ces coutumes ancestrales —nettoyer les maisons, préparer des plats traditionnels, faire des prières et échanger des bénédictions— rappellent aux familles népalaises leur identité commune et leur permettent d’envisager l’avenir avec espoir. Comme l’exprime une source culturelle, le Nouvel An népalais est « un moment de joie, de renouveau et de convivialité », un instant pour réfléchir au passé et avancer avec optimisme.
Au fil des décennies, ces traditions ont pris de nouvelles significations. Pour des millions de familles népalaises, le Nouvel An n’est pas seulement un événement culturel, mais aussi une occasion de se reconnecter financièrement avec les proches à l’étranger. Les envois d’argent effectués à cette période permettent de financer les festivités, d’alléger les charges financières et symbolisent le lien constant entre les familles séparées par les frontières. Des services comme sendvalu rendent ces moments possibles, en veillant à ce que, même à distance, les familles puissent célébrer avec dignité, fierté et joie.
Pourquoi le Nouvel An népalais est important pour les familles, ici et ailleurs
Pour les familles népalaises, le jour de l’An (Baisakh 1) est bien plus qu’une simple date : c’est un moment précieux de réunion, de fierté culturelle et d’espoir renouvelé. Les jours qui précèdent sont marqués par des préparatifs intenses, issus de coutumes ancestrales qui rapprochent les familles à travers chaque rituel :
Nettoyage et décoration de la maison : Les maisons sont soigneusement nettoyées et décorées avec des rangoli colorés, des banderoles et des lampes à huile afin d’accueillir la prospérité et la bonne fortune pour l’année à venir. Un espace propre et organisé est considéré comme essentiel pour attirer la chance et les bénédictions.
Festins et douceurs traditionnelles : Les familles préparent des plats typiques comme le baji (riz aplati), l’aaloo tama (curry de pommes de terre et pousses de bambou), et des douceurs comme le sel roti, les crêpes de lentilles et les laddus. Partager ces repas renforce l’esprit festif et l’unité familiale.
Échange de cadeaux et de bénédictions : C’est un temps de générosité et de vœux. Les aînés offrent la dakshina (dons en argent) aux plus jeunes, en symbole d’espoir, de réussite et de bonheur pour l’année à venir. Les familles s’échangent vêtements, nourriture ou petits présents en signe d’affection.
Visite des temples et prières : Beaucoup commencent l’année par une visite spirituelle aux temples locaux. Les fidèles font une puja, font sonner les cloches et brûlent de l’encens pour remercier l’année écoulée et demander des bénédictions pour l’avenir.
Une fois les prières terminées, les familles participent souvent à des pique-niques communautaires ou à des fêtes de rue. À Bhaktapur, la célébration de Bisket Jatra comprend d’imposants cortèges de chars et des rituels vieux de plusieurs siècles, apportant une touche de grandeur à l’occasion.
Tout aussi important, le Nouvel An népalais revêt une signification particulière pour la diaspora. Que ce soit dans le Golfe, en Malaisie, en Australie, en Europe ou en Amérique du Nord, les Népalais vivant à l’étranger s’efforcent de recréer l’esprit du Baisakh 1. Les rassemblements communautaires, les programmes culturels et les repas traditionnels entretiennent le lien avec leurs racines. On se souhaite “Subha Naya Barsha !” et nombreux sont ceux qui prennent le temps de passer des appels vidéo à leurs proches au Népal, parfois en se levant tôt pour correspondre au fuseau horaire népalais.
Pour les parents migrants, le Nouvel An est aussi une occasion d’enseigner à leurs enfants l’héritage culturel népalais : préparer ensemble du sel roti, raconter des histoires de leur enfance et célébrer leurs origines. Pour les étudiants ou les travailleurs éloignés de chez eux, c’est souvent une journée nostalgique marquée par de simples retrouvailles entre Népalais, qui créent un sentiment chaleureux d’appartenance.
En somme, le Nouvel An népalais est à la fois local et mondial, une célébration sincère qui unit les familles à Katmandou, Londres, Sydney ou Doha. C’est un jour où les traditions culturelles transcendent la géographie et renforcent les liens communautaires, rappelant à chacun que, peu importe où nous sommes, nous partageons les mêmes valeurs, souvenirs et espoirs pour la nouvelle année.
Le rôle des envois d’argent dans les préparatifs du Nouvel An népalais
Alors que les familles népalaises se préparent pour le Nouvel An, une force souvent invisible mais puissante rend les célébrations possibles : les transferts de fonds. Ce sont les envois d’argent effectués par les proches vivant à l’étranger, et ils jouent un rôle essentiel pour transformer les espoirs du Nouvel An en réalité.
Le Népal est l’une des économies les plus dépendantes des envois d’argent dans le monde. En 2023, le pays a reçu plus de 11 milliards de dollars en transferts, soit 26,6 % de son PIB. C’est plus que ce que le pays reçoit en aide étrangère ou en investissements directs, ce qui montre à quel point les revenus des migrants sont essentiels à l’économie nationale et au bien-être des ménages.
Chaque jour, environ 1 500 Népalais quittent le pays à la recherche de travail, et pendant les périodes festives, leur soutien devient encore plus significatif. Selon la Banque centrale du Népal (Nepal Rastra Bank), les flux de remises augmentent lors des grandes fêtes comme Dashain, Tihar et Baisakh 1, le Nouvel An. Ces envois permettent aux familles de couvrir les dépenses liées aux fêtes : nourriture, vêtements neufs, offrandes dans les temples et même remboursement de dettes.
Par exemple, imaginons une famille d’un village rural dont le fils aîné travaille à Dubaï. À l’approche du Nouvel An, il envoie 20 000 NPR supplémentaires pour que la maison soit repeinte, que les provisions soient faites et qu’une chèvre soit achetée pour le repas familial. Sa mère utilise une partie de l’argent pour acheter des douceurs et des fruits à partager avec les voisins, tandis que ses jeunes frères et sœurs reçoivent des vêtements neufs pour la fête. Ce qui aurait été une fête modeste devient une célébration joyeuse et pleine de chaleur, grâce à son soutien depuis l’étranger.
À travers tout le Népal, ce type d’histoire est courant. Les envois d’argent ne servent pas seulement à survivre, mais aussi à créer des souvenirs et à préserver les traditions. Dans les villes, les familles peuvent les utiliser pour acheter des appareils électroniques, des vêtements, ou même parrainer des événements locaux. Dans les villages, ils peuvent financer des pique-niques communautaires ou des programmes dans les temples.
Mais cela a un prix : souvent, celui qui envoie l’argent est absent. Qu’il s’agisse d’un père, d’une fille ou d’un frère, leur amour se manifeste dans chaque détail : dans les bougies allumées, les repas partagés et les appels joyeux rendus possibles par leur sacrifice. L’envoi d’argent devient bien plus qu’un simple transfert financier : c’est un geste d’amour et d’engagement. Ainsi, le Nouvel An népalais devient une fête rendue possible au-delà des frontières, portée par l’amour et la détermination de ceux qui travaillent à l’étranger.
Travailleurs migrants népalais : Du Golfe aux collines
Derrière chaque envoi d’argent se cache une histoire de résilience, de sacrifice et d’espoir. En 2024, plus de 3,5 millions de Népalais — soit environ 14 % de la population du pays — travaillent à l’étranger, principalement en Malaisie, dans les pays du Golfe, et de plus en plus en Corée du Sud et au Japon. Ces travailleurs occupent des emplois dans la construction, l’agriculture, l’industrie manufacturière, les services domestiques et bien d’autres secteurs, souvent dans des conditions éprouvantes.
Le phénomène de migration de main-d’œuvre a véritablement pris son essor dans les années 1980 et 1990, alimenté par le boom pétrolier dans le Golfe et le manque d’opportunités au Népal. Ce qui n’était au départ qu’un petit flux de travailleurs est devenu une force économique majeure. En 1990, les envois d’argent représentaient environ 2 % du PIB népalais ; aujourd’hui, ils dépassent le quart. L’impact sur le paysage économique et social du pays est considérable : des familles qui vivaient autrefois uniquement de l’agriculture de subsistance peuvent désormais financer des études, construire des maisons durables et lancer de petites entreprises grâce aux revenus venus de l’étranger.
De nombreux travailleurs migrants envoient de l’argent pour éduquer leurs frères et sœurs ou enfants, financer des mariages ou acheter du bétail. À l’occasion du Nouvel An népalais, leurs contributions prennent un éclat particulier : c’est parfois le premier Nouvel An fêté dans une nouvelle maison ou la première fois que chaque membre de la famille reçoit un vêtement neuf. Certains parrainent des pique-niques communautaires, d’autres veillent à ce que les temples aient tout le nécessaire pour les offrandes rituelles. Du soleil brûlant du Golfe aux collines verdoyantes du Népal, leur soutien traverse les frontières pour illuminer des vies.
Mais pour ceux qui sont à l’étranger, cette fête peut être empreinte de mélancolie. Tandis que les familles se réunissent au Népal pour prier, manger et célébrer, beaucoup de travailleurs passent la journée sur des chantiers ou dans des dortoirs exigus. Un technicien au Qatar peut lever une tasse de thé à minuit, heure népalaise, et appeler sa femme et ses enfants en visioconférence pour se souhaiter bonne année. Les collègues se rassemblent, partagent des repas simples et chantent des airs familiers, recréant des instants de chez eux. Malgré la distance, leurs cœurs restent liés au Népal.
Dans chaque appel, chaque transfert, chaque photo échangée, il y a un message : “Je suis toujours avec vous.” Ces héros de l’ombre rendent possible la célébration du Nouvel An avec joie et dignité, incarnant l’essence même du “Nouvel An, Nouveaux Espoirs.”
Comment sendvalu soutient les familles pendant le Nouvel An népalais
Dans le monde numérique d’aujourd’hui, envoyer de l’argent chez soi est plus simple et rapide que jamais, et pendant les fêtes comme le Nouvel An népalais, une plateforme fiable fait toute la différence. Chez sendvalu, nous proposons un service mondial de transfert d’argent en ligne, permettant aux travailleurs migrants népalais de soutenir leurs proches avec facilité, rapidité et sécurité, au moment où cela compte le plus.
Pendant les périodes de forte demande comme cette fête, les familles comptent sur un soutien financier ponctuel pour profiter pleinement de la célébration. Nous répondons présents avec :
Transferts rapides : L’argent arrive souvent en quelques heures, idéal pour les préparatifs de dernière minute ou les urgences.
Livraison flexible : Envoyez directement sur un compte bancaire ou choisissez parmi des milliers de points de retrait en espèces à travers le Népal.
Recharges mobiles : Rechargez instantanément le téléphone de vos proches — parfait pour les vœux et appels vidéo de fête.
Frais réduits et excellents taux de change : Une plus grande part de votre soutien atteint la maison, là où il est le plus nécessaire.
Qu’un travailleur népalais envoie un cadeau depuis le Golfe ou aide ses parents à préparer des offrandes dans un village reculé, chez sendvalu, nous veillons à ce que leur amour et leur soutien arrivent à temps. La plateforme est conviviale, disponible 24h/24 et 7j/7, et fonctionne aussi bien sur ordinateur que sur mobile, la rendant accessible même à ceux qui ont peu de temps ou d’expérience technique.
Et surtout, il ne s’agit pas que d’argent. Une recharge mobile peut permettre à une mère d’appeler son fils le jour de l’An ou à une famille de partager des photos du festin. Il s’agit de rester connectés. Voilà pourquoi la distance ne freine pas la fête. La plateforme permet aux travailleurs migrants de se sentir partie intégrante de la joie qu’ils contribuent à créer, rendant possible un début d’année avec tout ce qu’il faut — et tout le monde dans le cœur.
Une célébration rendue possible au-delà des frontières
Ce Nouvel An népalais, célébré le 14 avril 2025, est bien plus qu’un événement culturel : c’est un rappel sincère des liens familiaux, de la résilience et de l’espoir renouvelé. À travers montagnes, frontières et fuseaux horaires, les familles népalaises trouvent des moyens de rester unies lors de cette occasion spéciale, portées par la tradition, la technologie et le dévouement constant de ceux qui travaillent à l’étranger.
Imaginez une mère allumant la première bougie de l’année dans un temple de son village, pendant que son fils, au Qatar, adresse une prière silencieuse depuis son chantier. Une fillette à Katmandou porte une robe offerte grâce à l’argent envoyé depuis Londres, et un grand-père à Pokhara est ému lorsque sa fille, depuis la Malaisie, recharge son téléphone pour qu’il puisse l’appeler et lui souhaiter « Bonne année ». Ces moments, bien que vécus à distance, sont tissés ensemble par l’amour et le soutien, rendus possibles à travers les frontières.
Les transferts d’argent sont bien plus qu’une aide financière : ce sont des gestes d’attention qui permettent aux familles de nettoyer, décorer, cuisiner et se réunir avec fierté. Qu’il s’agisse de financer le repas du Nouvel An ou d’acheter des fournitures scolaires pour l’année à venir, ce soutien apporte une véritable joie. Et grâce à des services comme sendvalu, ces contributions arrivent rapidement, en toute sécurité et à moindre coût, permettant aux familles de se préparer et de célébrer sans souci.
Qu’il s’agisse d’une recharge mobile, d’un virement bancaire ou d’un appel vidéo opportun, le sentiment d’être ensemble reste intact. Même si certains membres de la famille sont physiquement absents, leur présence est ressentie dans chaque prière, chaque repas, chaque sourire partagé. À travers chaque envoi et chaque message, ils expriment clairement : « Je suis avec vous. » Des collines du Népal aux villes du Golfe et au-delà, le Nouvel An népalais vit dans chaque lien créé au-delà des frontières. Que cette année, chaque famille entre dans la nouvelle année avec amour, optimisme et la certitude que nulle distance n’est trop grande lorsque les cœurs restent unis.
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